Par Catherine Austin Fitts
Traduction par Vanessa Biard-Schaeffer

Je ne suis pas une scientifique. Je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un ingénieur dans les biotechnologies. Je ne suis pas avocate. Mais j’essaye de comprendre ceux qui le sont, je lis, j’écoute et j’évalue.

J’étais banquier d’investissement avant que la politique ne m’empêche de faire mon métier. J’ai été formée en stratégie d’investissement et donc j’ai pris l’habitude de cartographier le monde en suivant les flux financiers et en observant comment se fait l’allocation des ressources. J’ai aussi été formée pour être un fantassin et un générateur de complots, ces derniers étant le mode principal d’organisation du monde dans lequel nous vivons. Ce ne fut que quand je quittai l’establishment que je compris que ceux qui ne font pas partie du club avaient été déformés pour ne pas voir les complots, les éviter, ce qui est une manière intelligente de saboter leurs efforts vers l’obtention du pouvoir.

En guerre pendant un certain temps contre des agences gouvernementales des Etats-Unis, ma réaction personnelle à cette situation fut de répondre aux questions des personnes qui étaient suffisamment curieuses et courageuses pour me demander mon opinion. Au fil des années, cette réponse aux événements prit la forme de 2 activités professionnelles distinctes. L’une est le Rapport Solari qui continue actuellement de se développer, c’est réseau global d’information où nous cherchons à nous aider mutuellement pour comprendre (et naviguer parmi) les événements actuels et contribuer aux évolutions positives. L’autre activité est du conseil en investissement pour des particuliers et des familles nommé Services de Conseil en Investissement Solari. Après une dizaine d’années, j’ai transformé cette activité en une analyse des choix d’investissement selon des critères environnementaux, sociaux et responsables –ESG en anglais-. Que cherchent ceux qui souhaitent en faire usage et qui n’est pas déjà disponible sur le marché ? C’est une analyse qui prend en compte la corruption financière et politique. C’est un métier que d’identifier les métastases de la corruption, pas une science.

Quand on aide une famille à gérer ses finances, il est crucial de comprendre quels sont tous leurs risques possibles. Leur succès financier dépend d’une bonne évaluation de tous les risques, qu’ils soient financiers ou non, qu’ils peuvent rencontrer dans leur vie quotidienne. Les risques non-financiers peuvent avoir un impact majeur sur l’allocation des ressources d’une famille, incluant l’argent, les actifs, le temps et la capacité de concentration.

Plusieurs de mes clients et de leurs enfants ont été dévastés à cause d’accidents médicaux et de la corruption, et la cause la plus fréquente de ces déroutes était la vaccination avec son lot d’accidents médicaux et de décès. Après de longues et effroyables expériences avec les institutions médicales, ils se posent invariablement la question suivante « Si la corruption est aussi forte dans la médecine, l’alimentation et la santé, qu’en est-il du monde financier ? ». Effrayés à cette pensée, ils se mettent alors à chercher un professionnel de la finance qui connaisse les arcanes du gouvernement des Etats-Unis et la corruption financière. Et ils finissent par me contacter.

Grâce de ce flot pendant dix ans de gens intelligents, éduqués et chanceux d’avoir les moyens me permettant de me mettre à leur disposition, j’ai fini par apprendre énormément sur les handicaps et les décès infligés à nos enfants par ce que j’appelle maintenant « le grand empoisonnement ». J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises d’évaluer le coût des dommages humains sur toutes les personnes concernées (pas seulement les enfants en cause mais leurs parents, leurs propres enfants et les futures générations) évaluant encore et encore les coûts financiers des accidents médicaux causés par les vaccins. Ces cas ne sont pas si isolés qu’on pourrait le croire. Des études indiquent que 54% des enfants américains ont une ou plusieurs maladies chroniques. Des médecins dans lesquels j’ai confiance, m’ont indiqué que ce chiffre est en fait plus élevé puisque beaucoup de familles n’ont pas les moyens de se faire dépister de manière à diagnostiquer correctement ce qui les affecte, ni de se faire soigner.
L’une des mères de famille apparaissant dans le film VAXXED (un documentaire à voir absolument pour tout citoyen éveillé, tout comme sa suite VAXXED II : La vérité des gens) a estimé qu’un enfant profondément autiste coûte pour l’élever et le soigner sa vie durant, et exprimé en valeur actuelle, cinq millions de dollars. Quand certains de mes clients et grands-parents insistaient pour ne pas interférer dans le choix vaccinal de leurs enfants parce que cela ne relevait pas de leur responsabilité, je répondais « Vraiment ? Et qui a les cinq millions de dollars ? Vous ou vos enfants ? Quand vos enfants auront besoin des cinq millions pour leur enfant victime d’un vaccin, allez-vous leur refuser votre aide ? Vous êtes la banque, c’est votre argent qui subit risque ici, donc c’est votre responsabilité. Voulez-vous dépenser cinq millions pour une famille qui se développe et se renforce à travers les générations ou pour gérer un enfant handicapé qui aurait pu rester normal ? ». Bien souvent les cinq millions de dépense se traduisent aussi en divorce, en dépression et en pertes de chance pour la fratrie.

Mes clients m’ont aidé à trouver les meilleures références, livres, documents, articles, sur les vaccins. Vous trouverez beaucoup de ceux-ci en liens ou développés sur le Rapport Solari, ainsi que dans notre bibliothèque.

De toutes les questions, celle sur laquelle j’ai passé le plus de temps à faire des recherches et à réfléchir est : Pourquoi ? Pourquoi l’institution médicale est volontairement entrain d’empoisonner des générations entières d’enfants ? Beaucoup d’auteurs qui ont étudié la question, et qui ont écrit sur le sujet des dommages et des décès liés aux vaccins, ont émis l’hypothèse que c’est dû à une incohérence résultant de l’incapacité d’un système médical orthodoxe ne pouvant pas faire face à ou gérer ses erreurs, ainsi que les responsabilités financières qui les accompagnent. Cela ne m’a jamais paru logique. Les ouvrages de Forrest Maready, de Jon Rappoport, du Docteur Suzanne Humphries et d’Arthur Firstenberg m’ont aidé à comprendre le rôle des vaccins dans l’escroquerie permettant aux compagnies d’assurance et aux personnes responsables, d’économiser de l’argent.

Voici un exemple de la manière dont se passe l’escroquerie. Une toxine cause une maladie. La toxine peut être un pesticide ou une pollution industrielle, ou encore une radiation liée à une technologie sans fils. La toxine crée des dommages à des millions de personnes et à leurs communautés. Les sociétés ou les assureurs peuvent être tenus financièrement responsables pour des faits d’ordre civil ou pénal. A ce moment là un virus est tenu pour responsable. Un « remède » est trouvé grâce à un « vaccin ». Le pesticide, ou une autre toxine en cause, est suspendu le temps que le vaccin soit distribué et par magie, la maladie s’évapore. Le vaccin est un succès et son inventeur devient un héro. Une catastrophe financière potentielle est transformée en profits pour les investisseurs et les fonds de pension. En tant qu’analyste financier, je dois admettre que c’est un tour de passe-passe brillant et qui a vraisemblablement protégé le secteur des assurances de la faillite, faillite qu’elles auraient dû connaître si elles avaient été obligées de compenser financièrement, à juste hauteur, les gens et les familles qui ont été détruits.

Grâce au travail de Robert Kennedy et de Mary Holland de l’organisation Children’s Health Defense je comprends maintenant quels sont les énormes profits générés grâce aux soi-disant « vaccins » qui ont suivi le vote du National Childhood Injury Act de 1986 et la création d’un programme d’indemnisation des accidents médicaux et des décès liés à la vaccination. Ce programme est un mécanisme fédéral de dédommagement financier des accidents et décès dus à la vaccination par l’intermédiaire d’un mécanisme d’introduction d’une demande indemnitaire devant la Cour des Etats-Unis des Plaintes Fédérales et de ses Maîtres spéciaux fédéraux.

La loi PREPA (Public Readiness and Emergency Preparedness Act) est entrée en vigueur en 2005 allégeant encore plus la responsabilité des sociétés commerciales. Cette loi est « une protection controversée pour les fabricants de vaccins vis-à-vis des risques financiers en matière de préjudice, dans le cadre d’une déclaration d’état d’urgence sanitaire. Cette loi permet précisément aux fabricants de médicaments de ne pas être poursuivis financièrement pour les essais cliniques… de vaccins, à la discrétion de la branche de l’exécutif du gouvernement. La loi PREPA renforce et consolide la supervision des poursuites contre les sociétés pharmaceutiques en l’intégrant au champs de compétence du ministère de la santé » (source : Wikipedia 2020).

Au fils du temps cela s’est transformé en une fabrication d’épidémies, la version médicale des faux drapeaux. En théorie, cela se traduit par des « opérations psychologiques » ou par des événements créés avec des technologies sans fils, ou de type guerre biologique ou chimique. Si cela vous paraît étrange, plongez dans tous les récits des « Personnes Ciblées ».

J’en ai fait l’expérience la première fois durant une procédure contre le Département de la Justice des Etats-Unis quand j’ai été soumise à un harcèlement physique intense. J’avais tenté d’employer plusieurs sociétés spécialisées dans la sécurité. Elles vérifiaient mon dossier et puis refusaient la mission, indiquant que c’était trop dangereux. La dernière me prit en sympathie et elle m’informa que je ne devais pas trop m’inquiéter des armes électroniques mais que mon problème principal serait l’agression biologique de faible intensité. L’expert anticipait que l’équipe opposée à moi pourrait faire des insertions par des trous dans les murs de ma maison et injecter un « ennemi invisible ». Bien entendu c’est ce qui arriva. J’ai vendu ma maison et j’ai quitté la ville. Ce départ fut le commencement d’un long apprentissage sur la manière dont les armes non-létales et l’empoisonnement sont utilisés : pour faire partir des locataires d’appartements au loyer contrôlé, rendre des personnes âgées plus malades et les installer dans des établissements plus chers subventionnés par le gouvernement, harceler des cibles politiques ou commerciales, épuiser ou tuer des adversaires judiciaires, et la liste est non exhaustive.
Lorsque ma procédure s’est finie, j’ai passé plusieurs années à me désintoxiquer de métaux lourds, incluant le plomb, l’arsenic et l’aluminium. Tandis que je traversai l’Amérique, je réalisai que je n’étais pas la seule. Les Américains semblaient de plus en plus en proie à des niveaux importants de métaux lourds. Durant le processus permettant de faire baisser de manière significative mes niveaux inhabituellement trop élevés de métaux lourds, j’ai compris la différence que peut faire la présence de ces métaux sur mon apparence physique, mon énergie et ma capacité à comprendre des informations complexes.

Ceci m’amène à la question de savoir ce qu’est exactement un vaccin, de quoi est exactement composé un vaccin et les concoctions injectées actuellement, ainsi que les potions de sorcières qui sont en cours de développement.

En 2017 des chercheurs italiens ont étudié les ingrédients de 44 types de soi-disant « vaccins ». Ils ont découvert des débris de métaux lourds et une contamination biologique dans chaque vaccin pour l’homme qu’ils ont testé. Ces chercheurs ont déclaré que « la quantité de corps étrangers détectés et dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle, nous a déconcertés ». Ensuite ils en tirent la conclusion évidente, plus précisément, que compte tenu du fait que les contaminants micro-logiques et nano-logiques n’étaient « ni biologiquement compatibles ni biodégradables » ils étaient donc « persistants biologiquement parlant » et pourraient avoir des effets inflammatoires immédiats ou dans le temps. (http://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf)

Des tissus d’embryons, d’animaux, de l’aluminium, du mercure, des matériaux modifiés génétiquement, quoi d’autre encore ?

Quels que soient les ingrédients des vaccins actuels, rien n’est plus bizarre et gênant que les suggestions sur ce qui serait mis dedans dans le futur. Certaines stratégies, déjà bien financées et bien avancées, incluent une interface nano-biologique entre le cerveau et des machines, des appareillages d’identité et de surveillance digitaux, et une technologie avec une date d’expiration qui peut être mise au rebus à distance. Un rapport indique que le gouvernement du Danemark et la marine américaine ont financé une société technologique pour réaliser une puce injectable qui serait compatible avec l’une des principales crypto-monnaies.

J’étais récemment entrain de lire une analyse excellente de Mary Holland en 2012 sur les décisions des cours de justice américaines concernant la vaccination (Vaccination obligatoire, la Constitution et la couverture vaccinale de l’Hépatite B des enfants, Journal des Politiques de Santé, de Droit et d’Etique de Yale), quand je me suis arrêtée et ai pensé « Pourquoi appelle-t-on ces injections dont Bill Gates et ses acolytes font la promotion, des ‘vaccins’ ? Sont-ils vraiment des vaccins ? ».

La plupart des gens savent comment Bill Gates a fait et a conservé sa fortune. Il a acheté un système d’exploitation qui a été installé sur nos ordinateurs. La rumeur a fortement circulé selon laquelle les agences d’espionnage américaines avaient un accès secret installé dans ce système d’exploitation. Les explosions soudaines et simultanées de virus informatiques ont pas la suite rendu nécessaires la mise à jour régulière de nos systèmes d’exploitation, permettant à Gates et à ses associés d’ajouter tout ce qu’ils souhaitaient sur vos logiciels. L’un des plus compétents de mes développeurs informatiques m’a un jour dit dans les années 90 (quand Microsoft s’est réellement envolé) « Microsoft fait vraiment des logiciels de m…e ». Bien sûr, le logiciel n’était pas vraiment leur cœur de métier. Leur business était d’accéder à nos données et de les agréger. Le capitalisme de surveillance était en route.

Le Département de la Justice a lancé une procédure anti-trust contre Microsoft en 1998 à la même époque où 28 trillions de dollars commençaient à disparaître du gouvernement américain (sans aucun doute avec l’aide de logiciels et de systèmes informatiques spécifiquement réalisés pour ce but). Pendant les négociations sur l’accord qui a permis à Gates de conserver sa fortune, il créa la Fondation Gates et se lança dans sa carrière de philanthrope. J’ai ri l’autre jour lorsqu’un tweet de ma part sur l’un des articles de Robert Kennedy Junior de l’organisation Children’s Health Defense, article qui décrivait l’horrible technologie que Gates espère pouvoir mettre en place grâce aux « injections », reçut la réponse suivante « Bref, je suppose qu’il est enfin entrain de remplir sa part de l’accord anti-trust ».
Si vous regardez ce qui est entrain d’être créé et proposé sous forme d’injections, il me semble que ces développements technologiques suivent plusieurs objectifs potentiels.

Le premier et le plus important de ces objectifs est le remplacement du système monétaire actuel, basé sur le dollar américain et utilisé par la population, par un système de transaction digital qui peut être couplé à une identification et un traçage digitaux. Le but est de mettre fin aux monnaies telles que nous les connaissons, de les remplacer par un système de carte de crédit implanté qui peut être intégré à plusieurs formes de contrôle, incluant potentiellement aussi une forme de contrôle mental. La dé-dollarisation menace le système de réserve international du dollar. La quantité de monnaie (M1 plus M2) a vu une augmentation à deux chiffres l’année dernière, après une nouvelle vague d’assouplissement quantitatif de la Banque Fédérale des Etats-Unis. La raison pour laquelle nous ne sommes pas entrés en hyperinflation est qu’il y a eu une chute brutale de la vitesse de circulation de la monnaie en utilisant le Covid-19 pour créer une fermeture artificielle d’une partie significative de l’économie et engendrer la faillite de millions de petites et moyennes entreprises. Les administrateurs du système du dollar sont sous pression et veulent utiliser de nouvelles technologies pour centraliser les flux économiques et conserver leur contrôle sur le système financier.

De la même façon que Gates a installé un système d’exploitation dans nos ordinateurs, maintenant le projet est d’installer un système d’exploitation dans nos corps, et d’utiliser des « virus » pour imposer une installation initiale suivie de mises à jour régulières.

Ceci étant posé, je comprends ainsi pourquoi Gates et ses petits camarades veulent appeler ces technologies des « vaccins ». S’ils peuvent persuader le monde politique que des cartes de crédits injectables ou des traceurs de surveillance ou des nanotechnologies faisant l’interface cerveau-machine et injectables sont des « vaccins », alors ils pourraient jouir de décisions de justice et de lois protègent depuis un siècle les fabricants de vaccins, et donc qui protégeraient leurs travaux pour imposer leur programme ; De même, ils peuvent imposer que les contribuables américains financent (à travers le Programme National de Dédommagement des Accidents Vaccinaux) les dégâts pour lesquels ils seraient normalement tenus responsables dans le cadre de leurs expérimentations sur la population générale (et la violation du code de Nuremberg et de nombreuses lois civiles et pénales). Ce projet est assez brillant. Faites en sorte que la population accepte la définition de « vaccins » pour de nouvelles concoctions high-tech, et ils pourront les envoyer directement dans les tubes. Nullement besoin de s’inquiéter des maladies et des décès résultant d’une chose aussi artificielle et si rapidement injectée. La liberté d’action que confère le fait de ne pas être tenu responsable financièrement grâce à la loi PREPA et une déclaration d’état d’urgence sanitaire (et la possibilité de maintenir l’état d’urgence par le dispositif de dépistage des contacts éventuels) peut les protéger des charges liées à des milliers, voire des millions, de décès et d’accidents médicaux qui pourraient certainement être consécutifs à une telle expérimentation à l’échelle humaine. Idéalement, ils peuvent juste se contenter de tenir un virus responsable de leurs effets.

Un de mes collègues m’a un jour dit comment le dictionnaire Webster a été créé. Webster a un jour déclaré que les ennemis ne changeraient pas la Constitution en l’amendant, mais simplement en en changeant les définitions, par le biais d’une attaque légale furtive.

Je crois que Gates et les industries pharmaceutiques et de biotechnologies sont littéralement entrain d’essayer de créer un réseau de contrôle global en installant des composants d’interface digitale et de nous brancher au nouveau nuage informatique de Microsoft, nuage informatique qui fait partie du contrat dit JEDI, un contrat de dix milliards de dollars avec le Département de la Défense américain ainsi que d’un contrat similaire pour plusieurs milliards de dollars, qu’a Amazon avec la CIA et partagé avec toutes les agences de renseignement américaines. Pourquoi croyez-vous que Donald Trump ait demandé à l’armée de faire des réserves de seringues pour la vaccination ? Il est probable que l’armée est entrain d’installer un système d’exploitation d’itinérance des données pour l’intégration à leur nuage informatique. Rappelez-vous que le gagnant dans la course de l’intelligence artificielle la plus puissante sera le système qui aura accès au plus grand nombre de données. L’accessibilité à votre corps et au mien 24h sur 24h, 7 jours sur 7 générera beaucoup de données. Si les Chinois le font, les Américains vont vouloir le faire aussi. En fait la mise en œuvre des systèmes d’exploitation sur l’homme est peut-être l’une des raisons pour lesquelles la compétition autour de Huawei et la 5G est devenue si violente. Comme nous l’a dit Frank Clegg, ancien président de Microsoft Canada, la 5G a été développée pour le contrôle des foules par les Israéliens.

C’est ainsi que, face à la dé-dollarisation internationale, le syndicat du dollar peut asseoir le contrôle dont il a besoin pour maintenir et étendre son pouvoir en tant que réserve globale monétaire. Cela inclut de protéger ses leaders des poursuites civiles et pénales liées aux niveaux explosifs de fraudes financières et médicales de ces dernières décennies.

Ce qui me ramène à vous et moi. Pourquoi appelons-nous ces formules « vaccins » ? Si je comprends bien l’histoire des cas juridiques, les vaccins relèvent en termes légaux, de la médecine. L’empoisonnement intentionnel par des métaux lourds n’est pas de la médecine. Des cartes de crédits injectables ne sont pas de la médecine. Une interface cerveau-machine n’est pas de la médecine. L’immunité judiciaire et financière pour les compagnies d’assurance ne crée pas une immunité humaine contre les affections.
Il est nécessaire que nous fassions cesser d’appeler ces concoctions par un appellation que les cours de justice et la population en général définissent et traitent comme de la médecine, et qui protège leurs responsables des conséquences légales et financières.

Les auteurs de ces fraudes sont entrain d’essayer un tour de passe-passe très clair qui les aidera à accélérer le rythme et annuler beaucoup du risque pris, et ce, sur notre dos. Je comprends pourquoi ils le font. Ce que je ne comprends pas par contre, c’est la raison pour laquelle nous les y aidons. Pourquoi acceptons-nous d’appeler ces concoctions dangereuses et bizarres des vaccins ? Quelles qu’elles soient, elles ne relèvent pas de la médecine.

De ce fait, comment devrions-nous conventionnellement les renommer ? Quel nom devons-nous donner à ces vrais poisons, ces métaux lourds neurotoxiques, et ces menottes digitales ?

Quel que soit le nom que nous utilisons, je sais une chose. CE N’EST PAS DE LA MEDECINE, CE QUI VEUT DIRE QUE CE NE SONT CERTAINEMENT PAS DES VACCINS.

View the French Translation: The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine (PDF).

Link to post: The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine

View the German Translation: The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine (PDF).

German Translation The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine Die injizierte Täuschung: Es ist kein Vakzin!.

Solari Report Interviews:

Central Bank Stimulus: Quantitative Easing 5.0 with John Titus
Deep State Tactics 101 Part III

Rapports Spéciaux Solari:

VAXXED II: The People’s Truth with Polly Tommey
Special Solari Report: Vaccine Mandates with Mary Holland, J.D

Fiches de lecture Solari:

The Autism Vaccine by Forrest Maready
unvaccinated by Forrest Maready
Crooked: Man-Made Disease Explained by Forrest Maready

Bons articles et vidéos à voir:

Childrens Health Defense: COVID-19: The Spearpoint for Rolling Out a “New Era” of High-Risk, Genetically Engineered Vaccines
Compulsory Vaccination, the Constitution, and the Hepatitis B Mandate for Infants and Young Children by Mary Holland
Hero of the Week: March 12, 2020 – Former President Of Microsoft Canada, Frank Clegg
Corbett Report: Bill Gates x 5
Collection Cup: Building a List of Best Sources on Vaccine Risks

Lectures en rapport:

Children’s Health Defense
VAXXED
VAXXED II: The People’s Truth
Jon Rappoport at nomorefakenews.com

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